dimanche 20 juillet 2014

Un canadien qui cherche à cultiver des fraises sur Mars



Si les rêves de Mike Dixon se concrétisent, la science engendrera la première fraise ou la première cerise tomate qui poussera sur la Lune ou une autre planète dans notre système solaire. Profondément dans ses recherches à haute technologie à l’université Guelph dans le sud de l’Ontario, le biologiste de l’environnement et son équipe ont préparé le terrain pour aider à rendre cela possible en essayant de trouver les longueurs d’onde de la lumière LED pour faire pousser certaines plantes de manière plus productive.  

Au cours des cents prochaines années, le professeur et président du département de biologie environnementale de Gelph dit que les humains vont marcher autour de Mars et vont explorer Mars sur une grande échelle. Lorsque cela se produit, d’importantes systèmes de contrôle de l’environnement et de systèmes de soutien sur la base de la biologie végétale devront être mis en place par ce qu’on ne peut bien sure pas réapprovisionner Mars à chaque épicerie du coin.  Selon Dixon, le fait de savoir qu’il y a des obstacles à la conquête de la science ainsi que des fons de recherche du gouvernement avant que les tomates ou les fraises ne poussent à des milliers de kilomètres de notre petite planète et qu’ils soient soigneusement contrôlés.  

Pour l’instant, il se concentre sur le potentiel de l’éclairage LED pour optimiser la croissance des plantes et à la fois de trouver des applications attachés à la terre pour ses recherches dans toutes sortes de cultures vivrières dans les climats rudes du Nord et de Koweit canadienne de l’industrie de la marijuana médicale en plein essor. Tout ce qu’ils font dans le centre de recherche est tiré par ce défi technologique d’aller sur la lune et la croissance d’une plante mais il est entièrement motivé par les transferts de technologie et les possibilités de commercialisation que leurs partenaires de l’industrie découvrent.

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