Si les rêves de Mike Dixon se concrétisent, la
science engendrera la première fraise ou la première cerise tomate qui poussera
sur la Lune ou une autre planète dans notre système solaire. Profondément dans
ses recherches à haute technologie à l’université Guelph dans le sud de
l’Ontario, le biologiste de l’environnement et son équipe ont préparé le
terrain pour aider à rendre cela possible en essayant de trouver les longueurs
d’onde de la lumière LED pour faire pousser certaines plantes de manière plus
productive.
Au cours des cents prochaines années, le
professeur et président du département de biologie environnementale de Gelph
dit que les humains vont marcher autour de Mars et vont explorer Mars sur une
grande échelle. Lorsque cela se produit, d’importantes systèmes de contrôle de
l’environnement et de systèmes de soutien sur la base de la biologie végétale
devront être mis en place par ce qu’on ne peut bien sure pas réapprovisionner
Mars à chaque épicerie du coin. Selon
Dixon, le fait de savoir qu’il y a des obstacles à la conquête de la science
ainsi que des fons de recherche du gouvernement avant que les tomates ou les
fraises ne poussent à des milliers de kilomètres de notre petite planète et
qu’ils soient soigneusement contrôlés.
Pour l’instant, il se concentre sur le
potentiel de l’éclairage LED pour optimiser la croissance des plantes et à la
fois de trouver des applications attachés à la terre pour ses recherches dans
toutes sortes de cultures vivrières dans les climats rudes du Nord et de Koweit
canadienne de l’industrie de la marijuana médicale en plein essor. Tout ce
qu’ils font dans le centre de recherche est tiré par ce défi technologique
d’aller sur la lune et la croissance d’une plante mais il est entièrement
motivé par les transferts de technologie et les possibilités de
commercialisation que leurs partenaires de l’industrie découvrent.
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